L’écrit t’enterre ?
Je dirais plutôt qu’il te fout des emplâtres l’emplâtré !
Mais c’est pâte à fautes, il t’a cuisiné…
Plus sérieusement, c’est far-amineux
écrire, écrire, c’est facile, mais mêl(ang)er ces deux arts,
t’y vas pas avec le dos d’la cuillère, c’est de lard !
Digne d’une miniardise de Com’estible.
Et rien que pour ça, j’apporte mon grain de sel,
En espérant que pour leur lune de miel,
Les tourte-reaux de ton pamphlet culinaire,
Se régaleront de leur amour le plus sincère.
Sur ce, j’ai du pain sur la planche,
c’est pas du gâteau mon boulot là,
alors avant que mon cerveau ne flanche,
je te dis à bientôt ami d’Allah.
[Єo. – 12 janvier 2012]
Tu mes pâtes, tu mes pâtes.
C’est loin d’être nouille ce que tu dis, ton Com.m’enterre!
Je pourrais essayer de rouler tout le monde dans la farine…
mais tous verraient quand même que tu m’aplatis.
Un tel écrit si faim, cela ce mange sans fin!
En rimes en plus, quelle délicatesse(n).
Et puis quel grain de sel, tu apportes tout le goût!
Le niveau il révèle, et relève, j’en suis fou.
Je ne fais pas le poids(vre), mais si je bats les eux,
par la force face à toi, j’résisterais un peu!
Il n’y as pas-d’-mé.
A bientôt amie (pirate!)
PS : Ton com. appétissant nourrit si bien l’esprit.
Y’a moyen d’en commander d’autres ? 😀
[R. – 12 janvier 2012]
Tu me surestimes bien trop flibustier !
Car tu le verras vite et sans mal
Lorsque l’on me réclames, je cale !
Et face à tes mots, le verdicte est sans pitié :
Si d’aventure nous croisons le vers,
Tu peux être certain de gagner le duel,
Je m’en vais donc, je repars en mer,
La bas au moins, pas de sort cruel,
Je n’ai point ta maîtrise de la prose,
J’irai donc suivre la rose
Et en navigant vers le large,
Je pourrai enfin ranger ma targe.
Ne m’en veux pas marin d’eau douce =)
[Єo. – 12 janvier 2012]
Comme nous croisons le vers, loin, en d’autres terres,
Ici tintons nos verres, santé fidèle compère ! (de jeux)
Je trinque (oui je prends cher :p) à ta prose de haut vol, qui de loin comme de près m’affole.
[R. – 25 janvier 2012]
Trinquons l’ami, mais pas à ma prose, à nos vers !
Et levons-les, nos vers, élevons-les en l’air.
Car l’air de rien c’est l’air des vers et pas que verts.
Vers terres et mers nos mots se répandent dans les airs.
Ils côtoient la flore et non sans efforts, encore,
Nous jouons avec eux et nous parlons de jeux.
Nous aurions tort de faire les morts, car le décor
Est maintenant planté, lançons les dés, en jeu !
[Єo. – 29 août 2012]
Alors prosons-nous là, sans laisser de vers vide,
Le miens je l’élève hau, santé, amie ?o !
Au vert l’air donne vie, des vers on est l’égide
Rien ne la fera taire, l’ère m’air de nos mots.
Evitions d’être à faune, que nos jeux s’animent-mal.
Décollons vers les cieux, eaulympe de ce sport,
Là nos vifs esprits recherchent, des sons, le graal.
Échanges mélodieux avec les sens font corps!
[R. – 28 novembre 2012]
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