Je crois sentir encore, à mes poils hérissés,
Frissons, là de mon corps, comme un vent doux d’été.
Ô nuit, ce chant m’adresse, de divins sentiments,
Ô joue plaisir, dément, folies tressent : fous rêves!
Aux bontés de la toile, je crois entendre la voix.
À l’offrir, elle nous dévoile, aux gens aide leurs joies.
Ô nuit, ce chant m’adresse, de divins sentiments,
Ô joue plaisir, dément, folies tressent : fous rêves!
Dément plaisir.
R.
[Crédits : Évasion poétique à l’écoute de l’air « Je crois entendre encore », extrait de l’Opéra de Bizet : « Les pêcheurs de perles. »]
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