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Oh range, ça!
Peut-être un signal indiquant qu’il est temps de s’arrêter… avant de possibles regrets.
Moi, ce conte défait (j’fée le malin) ne me fait pas rêver.
Oui car, à la fin de cette fin, lorsque le grand tourbillon (qui mouille) de la vie appellera l’absorption du prince au fond du trou (crotte!, mortelle… ce genre de blague qui tombe à l’eau…), même ses besoins (je continue sur ma lancée et pis…pis c’est tout!), de voir la vie sans ‘elle’ (ça ne vole pas haut) et sans lunette (le flou), ne l’empêcheront d’apercevoir :
-
- Qu’il ne laissera aucune vague, nouvelle, derrière lui…
Peut être seulement de vagues inconnu(e)s, sans papier (cucu ce passage) à son nom.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~ - Qu’il ne manquera :
- ni à sa moto (elle l’aura assez roulé),
- ni à toutes ces filles sans nom (sans occasion donnée de dire oui),
- ni à ses bouteilles dont les liquides l’auront précédé (encore une blague qui fait plouf),
- Encore moins à son jean (ça lui fera de belles jambes) !
- Qu’il ne laissera aucune vague, nouvelle, derrière lui…
Et pan! (talon…) un prince qui se tire une balle dans le pied, cqfd!
C’est pas de po (gnon, gnon), ces choses ne s’achètent qu’au cœur…
…de la vie, avec amour, rires, et évitent à mourir sans avoir jamais vraiment aimé.
Un prince sans cœur utilisé est un prince-sans-rire !
Chère lectrice, cher lecteur, vous risquez au final de trouver ce petit pavé métaphorique difforme et lourd, en français dans le texte : « c’est d’la mer**! ». Salé…
Ma fin n’est pas fine, in fine bien moins que la fin dont elle parle, je le reconnais.
L’avantage pour moi, ici, est qu’il m’est simple de conclure ainsi :
Sur ce pavé dans la marre je tire la chasse, puis je m’en lave les mains.
R.
(Crédit Images : À la une => Poulepondeuse / Article => Inconnu.)
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