Avec Єo. n°5 : « Un jeu dit : c’est dix! »

L’indé six ci as six se sou six du mes six.

On entend ici bas l’âme de l’écrivain
Qui grâce à ses récits tente de taire le chagrin.

Mais encore et toujours, ils ne font qu’absorber
Les déboires amoureux de ce futur passé.

Car six près et six ment sont con six liés i six.

Absorption relative car au petit matin
Le lecteur attentif s’imbib’ra du chagrin.

Une peine retranscrite ne puis point s’envoler
Elle n’est que rédigée, ressassée, partagée.

La forêt rétré six et la six té gros six.

Mais à tant se confier au clavier, au fusain,
Il attire tôt ou tard d’autres jeunes écrivains.

Désireux de l’aider, lui donner des idées
Pour l’histoire oublier et la page tourner.

Invin six ble six toyen à sa propre mer six…

[Єo. – 25 septembre 2012]

(Mer…six pour ta dix po. dix vine et six dérale. :))

Dix, six je me soustrais, du sujet je mets-quatre ?

Sur ses lèvres,

Je ne suis que des mots cherchant certains échos.
M’aidant d’amie Eo, je ne fuis que mes maux.
Je ne puis qu’être l’idiot planant sur ses écrits
Les souhaitant assez beaux pour capter son esprit.

Hier c’est dix ou six, aujourd’hui du quatre! (-hein!)

Dans mes rêves,

Elle, naît de fantaisies, beauté de nos folies
Elle n’est que fantaisies, sa beauté est folie.
Cette « elle » dans l’esprit sur laquelle mon coeur mise
C’est celle dans l’écrit dont ma plume est éprise.

Ces-sons, ce jeu, déchiffres, saisons… Un dernier quatre :

Sous nos « brèves »,

Printemps, ses chants défrisent, découverte d’une bise,
Eté, rêve s’attise, au gâteau la cerise
Automne, horizon brise, ne suis-j’ pas son héraut ?
Hiver, sous son emprise, en manque de ses mots…

Quatre-car pas tarte, je me suis mis en quatre…

[R. – 28 novembre 2012]

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